6 mars 2015

Fin de la saga médicale

Ma saga médicale, que j’avais décrite ici, s’est finalement conclue sur une bonne note. J’ai retrouvé mon ancien médecin de famille. Il est rendu dans les Laurentides! J’ai pris rendez-vous avec lui et l’ai rencontré hier. Il avait reçu mes résultats de cytologie et tout est beau! Pas de cellules cancéreuses ni de cellules suspectes!

Ce fut un bonheur de revoir mon cher médecin. Il a passé une heure avec moi pour mon examen annuel. Il a pris le temps de bien évaluer mon état de santé. Ça faisait du bien de se sentir de nouveau importante aux yeux d’un médecin. Je suis sortie du cabinet complètement rassurée.

Juste après mon rendez-vous, je me suis dit que j'allais entamer une remise en forme complète. Quand le médecin m’a pesée, j’ai constaté que j’ai pris 25 lb cette année! Ouf! Il m’a même dit de faire attention là, car je commence à avoir un surplus de poids.

C’est la motivation que ça me prenait pour me lancer un nouveau défi! Je vais me remettre en forme. Et je vais décrire mon cheminement ici, sur ce blogue.
Voici mes données de départ, en date de 5 mars 2015 :

Poids : 175 lb (je sais, j’ai zéro orgueil d’afficher mon poids sur Internet, mais je ne suis plus à l’âge où ça me dérange)
Tour de taille : 89 cm
Nombre de km courus par semaine actuellement : 5-6

Tout de suite après le rendez-vous chez le médecin, je voulais fêter la bonne nouvelle. Et au lieu d’aller manger du fast-food comme je l’aurais fait normalement, je suis arrêtée au Crudessence à Sainte-Thérèse, et j’ai mangé ça :



Bien franchement, mes papilles étaient loin d'être ravies. Le jus vert surtout là... brrrrrrr. Mais j’étais fière de mon choix de dîner quand même. Et pour souper, j’ai mangé un repas d’une portion raisonnable pour une fois.

Je ne me mets pas au régime, mais je me donne quelques objectifs :

- Manger le plus possible de bonnes choses dans ma journée (comme ça, j’imagine que j’aurai moins de place pour les cochonneries)
- Ne pas manger après 19 h (parce que c’est souvent le soir que je m’empiffre).
- Courir 10 km par semaine. Ça me fait rire d’écrire ça, car quand je m’entraînais pour des marathons ou des demi-marathons, 10 km c’était une courte sortie… Mais je ne veux pas me blesser alors je recommence doucement.


Au cours des prochains jours, je vais établir un plan d’entraînement et déterminer les courses auxquelles je souhaite participer en 2015!

26 février 2015

Défi jour 14 - Plan B

Je suis traductrice pigiste et maladivement anxieuse, deux états presque incompatibles. Depuis huit ans, je suis à la fois très heureuse de travailler à mon compte et terrorisée à l’idée de ne plus pouvoir vivre de ma profession un jour. J’élabore continuellement des plans B « au cas où la traduction se mettrait à ne plus exister ».

Depuis huit ans, je m’imagine que chaque contrat que je reçois est mon dernier. Je suis d’autant plus effrayée que j’ai bien connu la détresse professionnelle : j’ai passé mes cinq premières années sur le marché de travail dans un état d’extrême angoisse. Je pleurais tous les jours. J’avais une peur bleue de me rendre au travail. Mon chum de l’époque me disait que je commençais à pleurer et à gigoter nerveusement avant même de me réveiller. Et quand je me réveillais, décharge d’adrénaline instantanée. Nonnnnnn! Je ne voulais pas y aller. J’étais physiothérapeute. Et je pensais que c’était normal de se sentir comme ça au travail.

Heureusement, j’avais eu l’idée d’aller étudier en traduction peu après le début de ma carrière de physiothérapeute. C’était des cours du soir, à la Faculté de l’éducation permanente. Ma bouée de sauvetage. J’ai mis tout mon cœur dans ces études-là. Ça me prenait des notes du tonnerre. J’ai bien réussi : moyenne de 4.1/4.33 à la fin de mes deux certificats en traduction. J’ai vite été embauchée dans une belle équipe de traduction en entreprise. Je me souviens de ma première journée là-bas. Je me sentais comme un poisson dans l’eau. Comme si j’avais toujours été traductrice. Je me suis mise à respirer. Mon calvaire professionnel était enfin terminé.

Après quatre ans en entreprise, dont trois dans une société pharmaceutique, je me suis lancée à mon compte. Je suis au comble du bonheur depuis ce temps. Je trouve que ma vie est magnifique et je ne l’échangerais pas pour tout l’or du monde.

Et ça, c’est épeurant. Quand on a la vie dont on rêvait, on dirait qu’on ne peut pas aller plus haut. On peut juste tomber. Des fois, j’ai l’impression que je marche sur un fil de fer très haut dans les airs et qu’il faut absolument que je regarde devant. Si je regarde en bas, ça va me faire tomber. Et ce sera la catastrophe. Alors je marche sur mon fil de fer depuis huit ans. J’ai toujours continué d’avancer et je ne suis jamais tombée. Mais le danger est toujours là. Je suis toujours sur mon fil de fer, sans harnais, sans filet.

Des fois, j’aimerais me sentir moins en danger, alors j’essaie de me trouver des plans B. Pas si facile.
  • J’avais déjà pensé être journaliste, mais après une brève expérience comme recherchiste pigiste, je me suis découragée. J’avais peur des gens que je devais interviewer.
  • Des fois, étrangement, je m’ennuie de marcher vite dans les corridors de l’hôpital, et même des contacts avec les patients. Alors je me dis que je pourrais redevenir physiothérapeute. Mais non. Impossible après les cinq années de calvaire que j’ai vécues dans cette profession. Rien n’indique que je serais plus à l’aise de travailler avec le public aujourd’hui.
  • L’année dernière, j’ai même fait une demande d’admission en médecine. Ahahah! Mon dossier n’a finalement même pas été étudié parce que mes cours de chimie, de physique et de mathématique du cégep dataient de plus de huit ans. On me demandait de tout refaire. Euh non. Quand même pas.
  • J’ai pensé à faire carrière dans le milieu canin. Mais je me suis rendu compte que, même si j’aime mes chiens, je veux vraiment que ça demeure un loisir. Travailler avec les chiens, c’est avant tout travailler avec le public, comme quand j’étais physio.
  • J’ai été professeure de danse pendant genre deux mois à un moment donné. J’ai fait mes cours et mes examens pour devenir professeure, puis je n’ai pas aimé enseigner la danse alors j’ai arrêté.
  • Il y a un plan B qui a un peu abouti cependant, celui de devenir rédactrice. J’ai de plus en plus de contrats de rédaction médicale. Peut-être que je pourrais continuer d’explorer les possibilités de ce côté.

Des fois je me dis aussi qu’un jour j’écrirai un livre. C’était mon rêve quand j’avais quatre ans de devenir écrivaine. Pour ça, il faut beaucoup de travail. Beaucoup de talent aussi. Mais surtout beaucoup de travail tous les jours.

Je pense que c’était un peu ce rêve secret que je tentais de concrétiser quand je me suis lancé le défi d’écriture de 14 jours que je termine aujourd’hui. Je me disais qu’en faisant l’effort d’écrire tous les jours, je me donnerais peut-être l’élan que ça prend pour aller plus loin. J’espérais que ça allumerait une étincelle.

Mais ce défi était une lame à double tranchant. Oui, j’ai dû faire l’effort d’écrire tous les jours, et je suis fière d’y être parvenue. Mais je n’ai pas eu le temps de travailler mes textes et d’obtenir des résultats vraiment concluants.


Là mon défi est fini et je ne sais pas trop quoi faire. 

J'ai 40 ans, et il me semble qu'il serait temps que j'accomplisse de quoi.

25 février 2015

Défi jour 13 - Cerveau vide

Ça y est, mon cerveau est vide. Ça fait une heure que je regarde ma page blanche. J’écris parfois quelques mots, pour les effacer aussitôt. Il y a pourtant plein de sujets et d’émotions qui se bousculent dans ma tête, mais je suis incapable de formuler quoi que ce soit de cohérent.

Je voulais parler de l'amour et de la vie de couple, mais ce que j'écrivais devenait vite beaucoup trop personnel pour un blogue. Tsé, c'est pas la place pour faire son coming out (oups!)

Ce que je peux dire c’est que la vie à deux ne me manque pas du tout. C’est étrange tout de même qu’après quinze ans en couple avec diverses personnes j’aie perdu complètement l’envie de partager ma vie avec quelqu’un.

Jusqu’à cet été, je pensais même avoir perdu toute capacité d’aimer. Mais ça s’est révélé on ne peut plus faux. Mon cœur s’est emballé une fois. Solide. Ça m’a rassurée de voir que j’avais encore ça en moi. On se sent tellement vivant quand on est en amour.

Je crois toutefois que la vie de couple ne sera plus possible maintenant que j’ai deux chiens. Je suis incapable de sacrifier ne serait-ce que quelques minutes du temps que je leur consacre. Ou en tout cas, ça prendrait quelqu’un d’extrêmement indépendant. Je ne sais pas si ça se peut.

Il y a longtemps, bien avant d’avoir des chiens, je me disais que je n’avais pas encore rencontré mon âme sœur. Et mon âme sœur, je l’imaginais toujours comme un homme plus vieux, plutôt ermite, vivant en campagne avec deux chiens.

Je me rends compte que c’est moi qui suis devenue une ermite vivant en campagne avec deux chiens.

24 février 2015

Défi jour 12 - Dialogue entre chiens

Ah mon dieu! Je suis vraiment désolée de ce texte tellement ridicule et fleur bleue. C’est tout ce qui sortait ce soir. Et le pire c'est que je suis incapable de lire mes propres répliques sans entendre maman Caillou.

La scène se passe au rez-de-chaussée de ma maison

Axel : « Toutetoutelou. Ma mère ne regarde pas faque je vais aller me promener sur le comptoir… Wow! Heille je suis rendu que je saute bien. Ça n’a pas fait un son! »


Oslo : « OMG! OMG! OMG! Le bébé fait encore des choses interdites. J’espère que maman ne va pas penser que je suis complice. Vite je vais aller me cacher dans la cage. »

Moi : « Oslo, pourquoi tu vas dans la cag… Axel! Ben voyons! Qu’est-ce que tu fais là bébé chien. Ça n’a pas d’allure ce papoute là! »

Je prends Axel et le met dans la cage au lieu d’Oslo et je me remets à vaquer à mes occupations. Après cinq minutes, je laisse sortir Axel.

Axel : « Mmmm… J’ai rien à faire. Ah! Je le sais. Je vais aller demander à Oslo s’il veut jouer. Oslo, Oslo, Oslo, Oslo. Qu’est-ce que tu fais Oslo? C’est quoi t’as mangé? Wow! C’est doux ta face. Hein! Ta patte a bougé. Je croque ta patte. Wow! C’est l’fun. Croque la patte, croque la patte, croque la patte. »

Oslo : « Ça ne me tente pas ben ben de jouer. Ahhhh! T’es gossant. Heille croque-moi pas la patte. HEILLE ÇA VA FAIRE! »

Axel : « Mamaaaaaaaannnnn! Oslo m’a crié après! Pis là j’ai eu peur. Mamaaaaaaaaaan! »

Moi : « Va te trouver un jouet Axel. Est où ta balle? »

Axel : « Ouuuuuuuuu! Elle a dit balle. Elle a dit BALLE! Je vais la trouver la balle, je vais la trouver! Es-tu là? Non pas là. Es-tu là? Non pas là? Ahhhhhhhh! Elle est là! »

Moi : « Ah bravo Axel, tu as trouvé ta balle. »

Axel : « Oui tiens, je te la dépose ici. Tiens regarde je recule pour te laisser de la place pour la lancer… J’attends. Bon je recule plus. Regarde je t’ai apporté la balle maman. Regarde maman la balle. Maman la balle. Bon je vais prendre les grands moyens et mettre mes pattes arrière sur le meuble de télévision. »




Moi : « Hahahaha! Mais voyons Axel, ça n’a pas d’allure ton affaire. Qu’est-ce que tu vas inventer encore! Descends de là et viens ici. Tiens, je te lance la balle. »

Axel : « Je l’ai attrapée. Tiens, je te la rapporte ».

Oslo s’élance et lui coupe le passage.

Oslo : « C’est MA balle. »

Axel : « Ah ok. S’cuse. Je vais juste me mettre là et te fixer intensément pendant que tu joues alors. »

Oslo : « Regarde ma belle maman d’amour. Je t’ai apporté une belle balle parce que tu es la plus belle des mamans et je t’aime tant. »

Moi : « Ah merci Oslo. Tu es beau mon papou. Tiens, je te lance la balle. »

Oslo : « Wow, je l’ai attrapée au vol en tournant. Je suis bon. Je suis bon hein maman? »

Moi : « Oui, tu es bon mon champion. »

Oslo : « Bon je vais déposer la balle devant moi et je vais attendre sans bouger. Pour tester le jugement du bébé. »

Axel : « Ouuuuu, je pense qu’Oslo n’a plus besoin de la balle! Je vais approcher pour la lui prendre je pense. »

Axel tente de prendre la balle.

Oslo : « NON! À MOI! »

Axel : « Ah oups! C’était encore à lui. »

Oslo : « Maintenant, je vais déposer la balle un petit peu plus loin de moi et regarder de côté pour voir ce qu’il va faire maintenant. »

Axel : « Ah là je pense que j’ai le droit de prendre la balle. Je vais réessayer. Oui! J’ai réussi. Yéééé! Oslo est gentil. C’est mon frère! »

Oslo : « Eh Axel, veux-tu aller dans la cour? On va se courir après! »

Axel : « Oh oui! Mon dieu, mon dieu! C’est sûr que je veux! »

Les chiens s’élancent ridiculement intensément dans la cour et se courent après en faisant toutes sortes de danses.

Oslo : « Tu es quand même un bon petit frère, Axel. Tu t’en viens bien élevé et je t’aime beaucoup même s’il te reste encore beaucoup de bonnes manières à apprendre. »

Axel : « Ah je t’aime, Oslo. Tu es le meilleur des grands frères. »

Oslo : « Bon, on a assez joué. Je suis fatigué. J’ai une idée. Et si on allait dormi collés sur maman? »

Axel : « Oh oui! Elle va nous flatter la bedaine et on va s’endormir au chaud. On a une belle famille hein, Oslo? »

Oslo : « Oui, on a la meilleure famille du monde, Axel. »


23 février 2015

Défi jour 11 - Empty sink challenge

Empty sink challenge

Chez nous, c’est souvent dégueulasse. Parce que je suis une princesse qui ne fait pas le ménage. Je maintiens une salubrité minimale. Et encore.

En fait, je devrais parler à l’imparfait. Parce que ça, c’était avant le Empty Sink Challenge!

Un jour, mon amie Sophie m’a lancé un défi après que je lui eus envoyé cette photo-là avec le message « Tchèque ça comment c’est dégueu chez nous… » 


C’était une journée de non-productivité extrême. Je travaillais sur un projet de rédaction exigeant qui n’avançait pas. Et en plus, ma cuisine était si sale que j’étais pas loin de me dire que la seule solution était de vendre ma maison et d’en acheter une propre.

Sophie m’a écrit : « Tu as dix minutes top chrono pour nettoyer tout ça. Renvoie-moi une photo après! »

Oh! Moi j’aime ça les défis alors je me suis mise à courir partout en riant toute seule comme un bambin. Et ma cuisine était presque parfaitement rangée à la fin du temps accordé! Heille c’était dont ben facile! Et pas long!

Sophie m’a alors parlé d’une madame américaine spécialiste de la productivité ou de l’organisation qui conseille aux gens de toujours « go to bed with an empty sink ».

Ça d’l’air que comme ça, il y a pas juste l’évier qui se vide de ses cochonneries. Le cerveau aussi.

C'est ainsi qu'est né notre EMPTY SINK CHALLENGE (parce que ça prenait un nom kick ass pour nous donner le goût de relever ce défi).

Depuis un mois, ma cuisine est toujours impeccablement propre avant que je me couche le soir. Constat : ma qualité de vie est nettement meilleure.

C’est fou pareil. Faire le ménage, ça rend heureux. Qui l’eût cru?


Défi jour 10 - Une journée dans un concours d'agilité

Ouf! Il est 23 h 33. Il me reste moins de 30 minutes pour écrire mon texte d'aujourd'hui. Je vais donc y aller pour la simplicité. Je vais décrire, photos à l'appui, à quoi ressemble une journée dans une compétition d'agilité pour moi et mes deux chiens.

On se prépare à partir! On a les jouets, la bouffe, les bols d'eau, les chaussures d'agilité, les cages et surtout, les chiens!
On installe les chiens dans l'auto et on est prêts à partir!
Arrivée au complexe sportif où a lieu la compétition. Ma photo est floue? Ben c'est comme ça que je me sens quand j'arrive dans une compétition avec mon stock et mes deux chiens fous. Je suis tellement la personne la plus poche au monde pour faire mon entrée dans une compétition d'agilité avec mes deux chiens.

On arrive dans la salle! On a déjà hâte d'aller jouer à l'agilité!
Il faut maintenant trouver un endroit où mettre les cages. Il n'y a jamais beaucoup d'espace!

On s'installe dans la cage. Des fois, on boude.

Oslo a déchiré sa cage ce weekend. Encore. Je vais peut-être devoir me résoudre à apporter deux cages rigides. Mais dans une Yaris, c'est un peu un casse-tête...

Mine de rien, faire sortir les chiens pour leur pipi au bon moment est une activité importante durant les compétitions d'agilité. On veut le pipi dehors et pas dans le ring!


Axel aussi apprend à faire pipi sur demande rapidement.
Oslo attend son tour. En attendant, on pratique certains exercices. Notre échauffement consiste à courir lentement, puis de plus en plus vite. On fait ensuite quelques exercices actifs, comme des spins, fait le beau, sauter sur place, passer entre les jambes. Puis on va faire des sauts sur les sauts de pratique. Quand il reste trois chiens avant nous, je sors le fromage je fais faire toutes sortes de tours d'adresse à Oslo sur le bord du ring pour le préparer mentalement. Puis on entre dans le ring! Go go go!

Axel ne compétitionne pas encore, mais il travaille beaucoup aussi. Je lui fais faire toutes sortes d'exercices en contexte de concours d'agilité. C'est TRÈS excitant pour lui. Il a été un peu tannant, mais il m'a aussi fait de très belles choses. Sur la photo, il était essoufflé, car nous venions d'aller faire des exercices sur les sauts de pratique.


On va chercher nos résultats quand ils sont prêts et on se rend compte que sur papier, Oslo est pas pire vite quand même. C'est sûr que comme il ne fait pas d'erreurs, il ne perd pas beaucoup de temps. Il est extrêmement stable ce chien!

Après une compétition comme ça, je trouve ça essentiel d'amener mes chiens quelque part où ils peuvent se défouler et évaluer leur stress. Aujourd'hui, nous sommes arrêtés à Angelwood.

Après une journée comme ça, ça dort!




21 février 2015

Défi jour 9 - Oslo

Compétition d’agilité aujourd’hui. Pas nos meilleures performances, car je n’avais pas d’énergie à transmettre à Oslo. J’ai surtout passé l’après-midi à me coller sur lui, le nez dans son cou.

Il n’y a pas de meilleur anxiolytique que mon chien Oslo.

En agilité, c'était peut-être pas si laid en fait. Nous avons réussi un beau Défi ! Notre course m'a semblé extrêmement lente, mais sur papier, notre temps est étonnamment bon. Ça doit être parce qu'on a de grandes pattes Oslo et moi. On avance vite même si ça paraît pas.


Oslo, mon grand coéquipier et très grand ami
(magnifique photo de Rachel Bird)